Découvrir Concorde

Avec le Tupolev Tu-144, il fut le seul avion supersonique de transport de voyageurs à avoir été mis en service. L’entreprise française Sud-Aviation et l’entreprise britannique Bristol Aeroplane Company développèrent respectivement leurs supersoniques Super-Caravelle et Bristol 223. Ils étaient financés par leurs gouvernements respectifs, ceux-ci tenant à contrer la domination aérienne américaine. ]. Le développement du Concorde fut donc plus un accord international franco-britannique qu’un accord commercial entre les constructeurs. L’assemblage d’un premier prototype, Concorde 001, débuta à Toulouse en avril 1966 et l’avion sortit des hangars le 11 décembre 1967 sous l’immatriculation F-WTSS, « TSS » signifiant « transport supersonique ». ]. Ce vol dura 29 minutes. Parmi les autres projets d’avions de ligne supersonique proposés, seul le projet soviétique aboutit. Concorde effectua sa première entrée dans le domaine supersonique le 1er octobre 1969 au cours du 45e vol, piloté par Jean Pinet. ]. Le programme d’essais en vol se déroulant sans incidents, cette version de développement commença les démonstrations destinées au grand public le 4 septembre 1971. Deux appareils de préproduction furent également construits pour les essais, en plus des prototypes.

Lors des missions contre des objectifs terrestres, la grande variété d’armement emportée par le Rafale lui permet dans le même temps de s’adapter aux cibles et environnements qu’il va rencontrer et qui ne sont pas toujours connues à l’avance. Cela permet d’être très réactif et de produire différents effets militaires selon la situation et le besoin. A partir de 2006, la Marine nationale – comme l’armée de l’Air – a commencé à toucher des Rafale au standard F2, ajoutant la capacité air-sol. Puis est arrivé en 2009 le standard F3, avec lequel l’avion a atteint une pleine polyvalence. Il a, dès lors, pu démontrer toute l’étendue de ses capacités lors des opérations conduites dans les années qui ont suivi. Le 31 octobre 2018, un nouveau standard a été qualifié. Il s’agit du F-3R, qui s’inscrit dans la démarche d’amélioration continue du Rafale. Dans ce standard, l’avion peut mettre en œuvre le nouveau missile européen de supériorité aérienne Meteor (MBDA). \n – Peut-on prendre un instrument de musique à bord d’un vol Ryanair ? Enregistrer un instrument de musique sur un vol Ryanair coûte 70 € ; votre instrument ne doit pas dépasser 81 x 119 x 119 cm et peser plus de 20 kg. \n – Peut-on voyager avec du matériel de sport à bord d’un vol Ryanair ? Pour les équipements sportifs, comptez 40 € (60 € pour les vélos). \n – Peut-on voyager avec un animal de compagnie à bord d’un vol Air France ? Seuls les chiens d’aveugle sont autorisés à bord des avions Ryanair. Quelle valise peut-on emporter à bord d’un vol Transavia ? Vous pouvez enregistrer un bagage en soute gratuitement sur un vol Transavia, votre valise ne doit pas peser plus de 32 kg. Tout bagage supplémentaire coûte 15 € pour 15 kg (30 € à l’aéroport). \n – Peut-on prendre un instrument de musique à bord d’un vol Transavia ?

Il faudra attendre les premiers essais de roulage et le vol inaugural de la machine le 31 octobre 2012 pour découvrir les premières images officielles de l’appareil, baptisé J-31 (renommé « Falcon Eagle » par les services américains). Monoplace, bidérive, le démonstrateur est entièrement peint en noir et arbore le numéro 31001 de chaque côté du nez. Plus petit que le J-20, ses formes ne sont pas sans rappeler la version navale du Lockheed Martin F-35C « Lightning II » de l’US Navy. Dans les couloirs du Pentagone, on crie au piratage, et certains parlementaires de Washington n’hésitent pas à dénoncer un vol de documents techniques classifiés à l’occasion d’une cyber-attaque en provenance de Chine. Le J-31 présente effectivement plusieurs points communs troublants avec le Lightning II, à commencer par ses lignes anguleuses, mais aussi un train d’atterrissage renforcé qui caractérise les avions de combat destinés à être embarqués sur un porte-avions. Comme sur le F-35, on distingue aussi deux soutes à armement internes capables d’emporter deux missiles air-air moyenne portée en plus de six points d’emport externe sous voilure. Les cocardes sont du type utilisé dans la dernière partie de la guerre, elles sont disposées sur les flancs du fuselage, à l’extrados de l’aile gauche et à l’intrados de l’aile droite. L’entrée en guerre en septembre 1939 de la Grande Bretagne et des pays du Commonwealtn devait avoir une forte inflexion sur la carrière du Bobcat. En effet, le 17 décembre 1939 est signé à Ottawa le British Commonweaith Air Training Plan (BCATP). Ce traité qui associe le Royaume Unis de Grande Bretagne le Canada, la Nouvelle Zélande et l’Australie place les écoles de formation des pilotes du Commonweaith sous le commandement de la Royal Canadian Air Force. L’objectif de ce traite est pour les Britanniques de placer les centres d’entraînement, vitaux pour le remplacement des pertes et l’augmentation des effectifs, hors de la vulnérabilité des théâtres d’opérations. Il s’agit également d’assurer une formation homogène aux pilotes et équipages des pays du Commonweaith vont être amenés à combattre ensemble et sur des matériels identiques.

La proximité du bord de fuite des ailes et des entrées d’air du moteur montées à l’arrière de la porte de chargement a posé de nombreux défis aux ingénieurs de Pilatus. Le jet a été conçu dès le départ pour des opérations de piste non améliorées, contrairement à d’autres avions à réaction adaptés à ce rôle après la certification. L’engrenage principal, robuste, à bras oscillant, est équipé de quatre grands de pneus de 73 lb/po2. Chaque roue a un frein à triple disque pour un arrêt sûr. Les moteurs sont montés haut sur le fuselage arrière pour les garder à l’écart des débris soulevés par les pneus. Les rabats ont des peaux en aluminium épais sur les surfaces inférieures et ils sont facilement réparables. Les essais finaux sur les pistes non préparées sont maintenant en cours, l’approbation étant prévue pour la fin de l’année. L’intérieur permet un aménagement rapide est un des nombreux autres atouts du PC-24 qui lui permet de se distinguer. Beaucoup d’avions sont développés en plusieurs versions et adaptés à différentes missions : par exemple, intercepteur monoplace de base avec une version biplace pour l’entraînement et une version équipée d’une crosse d’appontage et d’ailes repliables pour l’aéronavale. Les avions de combat sont souvent dotés d’armements externes à la cellule et disposent d’un radar multi-fonctions. Le même avion peut alors être utilisé pour différentes missions en fonction des emports (réservoirs largables, bombes, missiles, pods photographiques, etc.) voire être capable d’effectuer plusieurs missions au cours d’un même vol : avion multirôle. Les avions de soutien sont parfois développés à partir de versions civiles, c’est le cas de nombreux avions-école et de certains avions de surveillance ou de ravitaillement en vol. Pour un même type de mission les avions sont ensuite classés en fonction de leur caractéristiques opérationnelles (rayon d’action, vitesse, etc.) ou de leur construction. Par exemple, les performances actuelles des réacteurs ont généré deux types d’avions de combat : monoréacteur, moins de 10 tonnes ou biréacteurs, classe 20 tonnes. La Seconde Guerre mondiale et la Guerre froide ont entraîné un effort de recherche et d’innovation considérable afin d’obtenir une supériorité sur le camp adverse.

US, une opération qui lui permettra de concurrencer son rival européen Airbus dans le segment des avions régionaux. Cette annonce survient quelques jours après l’entrée en vigueur du partenariat entre Airbus et Bombardier qui a permis à l’européen de prendre le contrôle du programme CSeries, concurrent de celui d’Embraer. Le protocole d’accord entre les avionneurs américain et brésilien doit néanmoins encore obtenir le feu vert de l’État brésilien, qui dispose d’un droit de veto sur les décisions stratégiques pour l’avenir de son fleuron industriel. Une fois finalisée, cette coentreprise « vouée à l’aviation commerciale » sera dirigée par une équipe « basée au Brésil, avec à sa tête un président et un directeur général », ont-ils poursuivi. La nouvelle entité sera par ailleurs directement rattachée à Dennis Muilenburg, le p.-d.g. Au Brésil, lors des discussions préliminaires, des voix s’étaient élevées pour qu’un tel accord n’inclue pas les activités militaires d’Embraer. Pour Embraer, l’opération permettra de bénéficier de la force de frappe commerciale de Boeing. Le communiqué précise par ailleurs que cette opération devrait améliorer le bénéfice par action de Boeing à partir de 2020 et générer des économies de coûts avant impôts d’environ 150 millions de dollars d’ici la troisième année.

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Airbus devant Boeing

Grâce à un contrat de dernière minute avec la compagnie à bas coûts Wizz Air, Airbus aura remporté plus de commandes que Boeing au Salon du Bourget cette semaine. L’avionneur européen aurait reçu un total de 54 milliards de dollars de commandes (fermes et options), contre 50,2 milliards pour l’américain. Toutefois, si on ne prend en compte que les commandes fermes, c’est Boeing qui remporte la partie. Airbus aura remporté plus de commandes que Boeing au Salon du Bourget cette semaine, grâce à un contrat de dernière minute avec la compagnie à bas coûts Wizz Air, qui s’ajoute à une demande toujours soutenue des compagnies asiatiques. Airbus affiche 421 commandes au total pour un montant global de 57 milliards de dollars (50 milliards d’euros), contre 331 commandes et 50,2 milliards de dollars pour Boeing. « C’est plus que ce que je prévoyais personnellement », a déclaré Fabrice Brégier, le président exécutif d’Airbus, lors d’une conférence de presse jeudi, quelques minutes après l’annonce d’une commande de 110 avions par Wizz Air, la première compagnie low-cost d’Europe centrale et orientale, un contrat signé après une nuit de négociations. « Cela confirme que la tendance de marché est favorable », a ajouté Fabrice Brégier. Avant le Salon du Bourget, de nombreux observateurs s’attendaient à ce que celui-ci soit moins animé que les précédents, l’accent étant mis davantage sur la volonté des constructeurs d’augmenter leur cadence de production pour livrer des carnets de commandes records que sur la conquête de nouveaux contrats. Fabrice Brégier a ainsi déclaré que les fournisseurs d’Airbus risquaient de perdre du chiffre d’affaires s’ils n’acceptaient pas de s’adapter à l’accélération des cadences et le directeur commercial du groupe européen, John Leahy, a souligné qu’Airbus travaillait déjà avec deux motoristes pour ses monocouloirs. Les industriels présents au Bourget n’ont pas eu l’occasion de faire des annonces majeures sur de nouveaux produits cette année. Airbus a expliqué qu’il continuait d’étudier le bien-fondé de lancer une version remotorisée ou une version allongée de son très gros porteur A380, tandis que Boeing explique n’avoir pris pour l’instant aucune décision sur un éventuel nouveau modèle de milieu de gamme appelé à remplacer le 757. Leur « challenger » canadien Bombardier s’est quant à lui concentré sur la démonstration du nouveau CSeries, qui a effectué au Bourget son premier vol lors d’un salon, mais il n’a enregistré aucune nouvelle commande pour cet avion, avec lequel il entend pourtant défier Airbus comme Boeing sur le marché court-courrier. Bombardier avait toutefois prévenu avant le Salon qu’il ne s’attendait pas à signer des contrats cette semaine. Mais il a publié les résultats d’essais qu’il présente comme supérieurs aux attentes.