L’Iran développe un avion de combat

Certainement un pied de nez à Donald Trump et aux nouvelles sanctions qu’il veut imposer lundi à l’Iran. En tout cas, Téhéran ne lâche pas et lance la production en série du Kowsar, un avion de combat « 100 % Made in Iran » destiné à son armée de l’air, a rapporté samedi la télévision d’Etat iranienne. Défense iranien, Amir Hatami, lors d’une cérémonie retransmise à la télévision. Selon Téhéran, le Kowsar a été intégralement conçu en Iran et il sera capable de transporter une grande variété d’armements. Il pourra également être utilisé pour de courtes missions de soutien aérien. L’armée de l’air iranienne est actuellement faiblement dotée et utilise des avions de combats russes ou américains acquis avant la révolution. En Syrie, où l’Iran apporte son soutien aux forces gouvernementale, l’armée iranienne dépend du soutien aérien de la Russie. Les Iraniens avait dévoilé fin août ce nouvel avion de combat, baptisé Kowsar. Téhéran avait affirmé que ses capacités militaires sont uniquement dissuasives et visent à parvenir à une « paix durable » dans la région, en pleine tension avec les Etats-Unis sur le dossier nucléaire et l’Arabie Saoudite. Une modernisation du F-5 américain? Cet avion, entièrement conçu en Iran, est capable de transporter différents types d’armes et sera utilisé pour de courtes opérations de soutien aérien, explique l’agence de presse iranienne Tasnim. Selon cette agence de presse, le Kowsar dispose d’équipements technologiques « de pointe », dont des radars polyvalents. Il a été testé avec succès et une démonstration de vol a été diffusée par la télévision iranienne en présence du président Hassan Rohani.

Peut-on voyager avec du matériel de sport à bord d’un vol Ryanair ? Pour les équipements sportifs, comptez 40 € (60 € pour les vélos). Peut-on voyager avec un animal de compagnie à bord d’un vol Air France ? Seuls les chiens d’aveugle sont autorisés à bord des avions Ryanair. Quelle valise peut-on emporter à bord d’un vol Transavia ? Votre bagage à main ne doit pas excéder 55 x 40 x 25 cm, ni peser plus de 10 kg. Vous pouvez enregistrer un bagage en soute gratuitement sur un vol Transavia, votre valise ne doit pas peser plus de 32 kg. Tout bagage supplémentaire coûte 15 € pour 15 kg (30 € à l’aéroport). Peut-on prendre un instrument de musique à bord d’un vol Transavia ? Les petits instruments de musique (moins de 25 x 117 x 38 dans leur étui) sont gratuits en cabine. Pour les autres, il n’y a pas de supplément si spécifié au moment de la réservation, 15 € après. Peut-on voyager avec du matériel de sport à bord d’un vol Transavia ? Cependant, la disposition était différente entre le prototype et les appareils de série. Le train avant du prototype se replie vers l’arrière. Pour le train principal, chaque ensemble comprenait 6 roues et se trouvait à l’extérieur du bloc moteur. Il se repliait vers l’avant, dans l’épaisseur de l’aile, d’où la petite taille des roues. Un nouveau train d’atterrissage a été développé à partir de l’appareil de pré-production no 77101. Le train avant se replie, cette fois, vers l’avant. Des changements importants ont eu lieu sur le train principal. Chaque ensemble comprend 8 roues réparties sur 2 essieux et se situe sous les nacelles. Un espace suffisamment grand entre les 2 conduites d’air permettait de loger le train principal, une fois replié. Le Tu-144 est propulsé grâce à 4 turboréacteurs placés dans 2 nacelles se trouvant sous les ailes. Le principal problème consistait à réduire la vitesse de l’air entrant dans le moteur.

On les voit ici à côté du logo Airbus et au-dessus du nez. Pas besoin d’entrainement ni de simulateur, pas d’adaptation à la nouvelle version, c’était même l’un des arguments commerciaux en faveur de l’avion. Sur le manche, on voit (entouré en rouge) la commande permettant d’actionner le compensateur. Les roues (flèche bleu) s’activent seules et il est possible de les empêcher de bouger en posant sa main dessus. Le trim stabiliser (encadré en vert) peut être déconnecté manuellement après avoir soulevé la protection, ce qui évite d’actionner par erreur l’interupteur. Ces procédures sont parfaitement connues et documentées pour tous les pilotes, il s’agit d’une procédure de gestion de panne connue sur toutes les versions de l’avion. Sans cette action, l’avion s’est mis en descente progressive, avec un rythme de 0.27°/sec et 2° max sur une période de 10 sec. Un rythme normalement assez lent pour être contré par les pilotes, si ceux-ci appliquent la bonne procédure. Mais les nouveaux éléments nous indiquent désormais que l’avion rencontrait des difficultés depuis au moins 4 vols et qu’au moins une sonde avait été changée. Lors du vol précédant le crash, l’avion aurait rencontré ce problème et les pilotes auraient appliqué la bonne procédure, en déconnectant l’interrupteur. Voici un autre accident pour Lion Air… Celui-ci n’avait heureusement pas fait de victime… mais la compagnie a très mauvaise réputation !

Si l’enquête ne fait que commencer, le PDG de Lion Air, Edward Sirait, a tenté d’écarter la piste d’un problème technique liée à sa compagnie. Il a assuré lundi matin à l’AFP que l’appareil « a été réparé à Denpasar », sur l’île de Bali, « puis a volé vers Jakarta ». L’Indonésie, un archipel d’Asie du Sud-Est de 17.000 îles et îlots, est très dépendante des liaisons aériennes, et les accidents sont fréquents. Et la Lion Air, principale compagnie low-cost nationale, est régulièrement pointée du doigt. Il s’agit toutefois de l’accident le plus grave connue par la compagnie ces dernières années. En mai 2016, deux avions du groupe Lion Air étaient entrés en collision sur le tarmac de l’aéroport de Soekarno-Hatta, à la périphérie de Jakarta. En avril 2013, un des Boeing de la compagnie avait manqué la piste d’atterrissage à l’aéroport international de Denpasar, sur l’île indonésienne de Bali, s’abîmant dans la mer toute proche. Les 108 personnes à bord, dont 101 passagers, avaient survécu mais une quarantaine d’entre elles avaient été blessées, dont une femme grièvement. En plus de l’alimentation des réacteurs, le carburant remplit deux autres fonctions. Il est utilisé pour le centrage. Après le passage du mur du son, l’équilibre aérodynamique est modifié, le centre de portance recule. Selon la vitesse, le maintien de la température en cabine peut se faire de deux manières. En vol subsonique, la cabine est réchauffée par le prélèvement d’air sur les étages compresseur haute pression. Pour des vitesses supersoniques, la climatisation est rendue difficile par l’échauffement de la cellule en raison des frottements de l’air. Le refroidissement se fait par échange avec le carburant, prélèvement des frigories. Une surconsommation de carburant peut obliger à revenir en subsonique plus tôt que prévu afin de conserver une température acceptable en cabine. Quatre groupes de conditionnement d’air sont utilisés, mais une surveillance accrue de la température par l’officier mécanicien navigant est nécessaire pour éviter une augmentation de la température cabine non compatible avec le confort des passagers.

↑ Williams 2002, p. Le DDM-NG : un détecteur de départ missiles, mais pas que! ↑ a et b « Premier déploiement opérationnel pour le pod Damoclès sur Rafale Marine », sur Mer et Marine. ↑ Loïc, « LA NACELLE TALIOS A ÉTÉ TESTÉE DANS UN CONTEXTE OPÉRATIONNEL », Defens’aero, 14 avril 2017 (lire en ligne). ↑ a et b Emmanuel Huberdeau, « Thales propose de l’IA pour le pod Reco NG », Air & Cosmos, 7 juin 2018 (lire en ligne). ↑ a et b Cour des comptes, « La conduite des programme d’armement », Rapport public annuel, février 2010 (lire en ligne). ↑ Daniel Reiner et Xavier Pintat, « Projet de loi de finances pour 2012 : Défense : équipement des forces : IV. ↑ Daniel Reiner, Xavier Pintat et Jacques Gautier, « Projet de loi de finances pour 2013 : Défense : équipement des forces et excellence technologique des industries de défense : Chapitre IV. ] et permettra au Rafale d’exploiter pleinement le nouveau missile Meteor. Le secteur angulaire couvert a été porté de 120° à 140° en avant de l’appareil et les capacités de résistance au brouillage ont été améliorées. Le système de guerre électronique Thales-MBDA « Spectra » (Système de protection et d’évitement des conduites de tir pour Rafale) de 250 kg est le système d’autoprotection du Rafale. Le Rafale est doté d’une fusion de données complètement intégrée au système d’armes. Le Rafale est donc interopérable avec toutes les plateformes Liaison 16 et peut s’insérer dans n’importe quel théâtre d’opération interallié OTAN. Le système permet par exemple de détecter l’avion ravitailleur à 185 km et donc de rester plus longtemps sur la zone de patrouille. Snecma débute les essais du réacteur M88-2 en janvier 1984, soit 8 mois à peine après la livraison à l’Armée de l’air du 1er Mirage 2000, équipé du réacteur M53. La qualification du M88-2 est obtenue le 30 septembre 1992 après 500 heures de vol.

Découvrir Concorde

Avec le Tupolev Tu-144, il fut le seul avion supersonique de transport de voyageurs à avoir été mis en service. L’entreprise française Sud-Aviation et l’entreprise britannique Bristol Aeroplane Company développèrent respectivement leurs supersoniques Super-Caravelle et Bristol 223. Ils étaient financés par leurs gouvernements respectifs, ceux-ci tenant à contrer la domination aérienne américaine. ]. Le développement du Concorde fut donc plus un accord international franco-britannique qu’un accord commercial entre les constructeurs. L’assemblage d’un premier prototype, Concorde 001, débuta à Toulouse en avril 1966 et l’avion sortit des hangars le 11 décembre 1967 sous l’immatriculation F-WTSS, « TSS » signifiant « transport supersonique ». ]. Ce vol dura 29 minutes. Parmi les autres projets d’avions de ligne supersonique proposés, seul le projet soviétique aboutit. Concorde effectua sa première entrée dans le domaine supersonique le 1er octobre 1969 au cours du 45e vol, piloté par Jean Pinet. ]. Le programme d’essais en vol se déroulant sans incidents, cette version de développement commença les démonstrations destinées au grand public le 4 septembre 1971. Deux appareils de préproduction furent également construits pour les essais, en plus des prototypes.

Lors des missions contre des objectifs terrestres, la grande variété d’armement emportée par le Rafale lui permet dans le même temps de s’adapter aux cibles et environnements qu’il va rencontrer et qui ne sont pas toujours connues à l’avance. Cela permet d’être très réactif et de produire différents effets militaires selon la situation et le besoin. A partir de 2006, la Marine nationale – comme l’armée de l’Air – a commencé à toucher des Rafale au standard F2, ajoutant la capacité air-sol. Puis est arrivé en 2009 le standard F3, avec lequel l’avion a atteint une pleine polyvalence. Il a, dès lors, pu démontrer toute l’étendue de ses capacités lors des opérations conduites dans les années qui ont suivi. Le 31 octobre 2018, un nouveau standard a été qualifié. Il s’agit du F-3R, qui s’inscrit dans la démarche d’amélioration continue du Rafale. Dans ce standard, l’avion peut mettre en œuvre le nouveau missile européen de supériorité aérienne Meteor (MBDA). \n – Peut-on prendre un instrument de musique à bord d’un vol Ryanair ? Enregistrer un instrument de musique sur un vol Ryanair coûte 70 € ; votre instrument ne doit pas dépasser 81 x 119 x 119 cm et peser plus de 20 kg. \n – Peut-on voyager avec du matériel de sport à bord d’un vol Ryanair ? Pour les équipements sportifs, comptez 40 € (60 € pour les vélos). \n – Peut-on voyager avec un animal de compagnie à bord d’un vol Air France ? Seuls les chiens d’aveugle sont autorisés à bord des avions Ryanair. Quelle valise peut-on emporter à bord d’un vol Transavia ? Vous pouvez enregistrer un bagage en soute gratuitement sur un vol Transavia, votre valise ne doit pas peser plus de 32 kg. Tout bagage supplémentaire coûte 15 € pour 15 kg (30 € à l’aéroport). \n – Peut-on prendre un instrument de musique à bord d’un vol Transavia ?

Il faudra attendre les premiers essais de roulage et le vol inaugural de la machine le 31 octobre 2012 pour découvrir les premières images officielles de l’appareil, baptisé J-31 (renommé « Falcon Eagle » par les services américains). Monoplace, bidérive, le démonstrateur est entièrement peint en noir et arbore le numéro 31001 de chaque côté du nez. Plus petit que le J-20, ses formes ne sont pas sans rappeler la version navale du Lockheed Martin F-35C « Lightning II » de l’US Navy. Dans les couloirs du Pentagone, on crie au piratage, et certains parlementaires de Washington n’hésitent pas à dénoncer un vol de documents techniques classifiés à l’occasion d’une cyber-attaque en provenance de Chine. Le J-31 présente effectivement plusieurs points communs troublants avec le Lightning II, à commencer par ses lignes anguleuses, mais aussi un train d’atterrissage renforcé qui caractérise les avions de combat destinés à être embarqués sur un porte-avions. Comme sur le F-35, on distingue aussi deux soutes à armement internes capables d’emporter deux missiles air-air moyenne portée en plus de six points d’emport externe sous voilure. Les cocardes sont du type utilisé dans la dernière partie de la guerre, elles sont disposées sur les flancs du fuselage, à l’extrados de l’aile gauche et à l’intrados de l’aile droite. L’entrée en guerre en septembre 1939 de la Grande Bretagne et des pays du Commonwealtn devait avoir une forte inflexion sur la carrière du Bobcat. En effet, le 17 décembre 1939 est signé à Ottawa le British Commonweaith Air Training Plan (BCATP). Ce traité qui associe le Royaume Unis de Grande Bretagne le Canada, la Nouvelle Zélande et l’Australie place les écoles de formation des pilotes du Commonweaith sous le commandement de la Royal Canadian Air Force. L’objectif de ce traite est pour les Britanniques de placer les centres d’entraînement, vitaux pour le remplacement des pertes et l’augmentation des effectifs, hors de la vulnérabilité des théâtres d’opérations. Il s’agit également d’assurer une formation homogène aux pilotes et équipages des pays du Commonweaith vont être amenés à combattre ensemble et sur des matériels identiques.

La proximité du bord de fuite des ailes et des entrées d’air du moteur montées à l’arrière de la porte de chargement a posé de nombreux défis aux ingénieurs de Pilatus. Le jet a été conçu dès le départ pour des opérations de piste non améliorées, contrairement à d’autres avions à réaction adaptés à ce rôle après la certification. L’engrenage principal, robuste, à bras oscillant, est équipé de quatre grands de pneus de 73 lb/po2. Chaque roue a un frein à triple disque pour un arrêt sûr. Les moteurs sont montés haut sur le fuselage arrière pour les garder à l’écart des débris soulevés par les pneus. Les rabats ont des peaux en aluminium épais sur les surfaces inférieures et ils sont facilement réparables. Les essais finaux sur les pistes non préparées sont maintenant en cours, l’approbation étant prévue pour la fin de l’année. L’intérieur permet un aménagement rapide est un des nombreux autres atouts du PC-24 qui lui permet de se distinguer. Beaucoup d’avions sont développés en plusieurs versions et adaptés à différentes missions : par exemple, intercepteur monoplace de base avec une version biplace pour l’entraînement et une version équipée d’une crosse d’appontage et d’ailes repliables pour l’aéronavale. Les avions de combat sont souvent dotés d’armements externes à la cellule et disposent d’un radar multi-fonctions. Le même avion peut alors être utilisé pour différentes missions en fonction des emports (réservoirs largables, bombes, missiles, pods photographiques, etc.) voire être capable d’effectuer plusieurs missions au cours d’un même vol : avion multirôle. Les avions de soutien sont parfois développés à partir de versions civiles, c’est le cas de nombreux avions-école et de certains avions de surveillance ou de ravitaillement en vol. Pour un même type de mission les avions sont ensuite classés en fonction de leur caractéristiques opérationnelles (rayon d’action, vitesse, etc.) ou de leur construction. Par exemple, les performances actuelles des réacteurs ont généré deux types d’avions de combat : monoréacteur, moins de 10 tonnes ou biréacteurs, classe 20 tonnes. La Seconde Guerre mondiale et la Guerre froide ont entraîné un effort de recherche et d’innovation considérable afin d’obtenir une supériorité sur le camp adverse.

US, une opération qui lui permettra de concurrencer son rival européen Airbus dans le segment des avions régionaux. Cette annonce survient quelques jours après l’entrée en vigueur du partenariat entre Airbus et Bombardier qui a permis à l’européen de prendre le contrôle du programme CSeries, concurrent de celui d’Embraer. Le protocole d’accord entre les avionneurs américain et brésilien doit néanmoins encore obtenir le feu vert de l’État brésilien, qui dispose d’un droit de veto sur les décisions stratégiques pour l’avenir de son fleuron industriel. Une fois finalisée, cette coentreprise « vouée à l’aviation commerciale » sera dirigée par une équipe « basée au Brésil, avec à sa tête un président et un directeur général », ont-ils poursuivi. La nouvelle entité sera par ailleurs directement rattachée à Dennis Muilenburg, le p.-d.g. Au Brésil, lors des discussions préliminaires, des voix s’étaient élevées pour qu’un tel accord n’inclue pas les activités militaires d’Embraer. Pour Embraer, l’opération permettra de bénéficier de la force de frappe commerciale de Boeing. Le communiqué précise par ailleurs que cette opération devrait améliorer le bénéfice par action de Boeing à partir de 2020 et générer des économies de coûts avant impôts d’environ 150 millions de dollars d’ici la troisième année.

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Le danger des drones

Tout accident en vol avec la chose est dangereux pour les aéronefs, comme en témoigne l’accident du voyage 1549 de Airways en janvier 2009. Le capt Chesley Sullenberger a piloté un avion de transport transportant 155 personnes dans l’Hudson après que celui-ci ait eu raison d’une tête d’oies du Canada Los angeles Guardia aéroport dans la grosse pomme. Les oiseaux ont également ruiné les moteurs d’avion. La charge de toute bernache du Canada – entre 6 et 2 kg / 5 kg – est dépassée par certains drones de caméra vidéo de haute qualité. Les aviateurs ont nommé pour plus de criblage sur l’effet probable du drone avec un moteur – vérifie que les entreprises appliquent systématiquement pour les événements d’oiseaux – mais cela pourrait être coûteux. Le taux depuis le Royaume-Uni a triplé depuis 2015. Le UK Airprox Table (UKAB), qui passe au crible tous les quasi-incidents impliquant un avion d’affaires, a indiqué qu’il y avait 92 avions entre drones et avions en 2017. Ce chiffre était supérieur à 3 fois le nombre enregistré 2015: 29. En 2016, il y en a eu 71 et les détails suivent clairement l’évolution de l’utilisation des drones. Il est contraire à la législation de piloter un drone au-delà de 120 mètres ou dans un espace aérien restreint, par exemple autour d’un aéroport. Des restrictions supplémentaires s’appliquent si le drone est équipé d’une caméra. Le site de Dronesafe, contrôlé par le chien de garde de l’aviation et le contrôle des visiteurs de l’atmosphère fédérale, énonce plusieurs règles pour le pilotage de drones, y compris la surveillance permanente du drone.

Que pouvez-vous faire pour les empêcher de voyager dans les aéroports internationaux? Les prisons pourraient vous aider à trouver la solution. Des entités gouvernementales étudient la possibilité de mettre en place un système anti-drones pour mettre fin à la contrebande de substances dans les prisons de langue anglaise, à la suite d’une expérience effective d’une demi-douzaine de mois à Guernesey. Le système SkyFence bloque les indicateurs radio tout autour de la prison chaque fois que des drones sont détectés et est utilisé pour se protéger contre la diminution des médicaments administrés aux détenus. Mais brouiller les indicateurs utilisés pour gérer le drone pourrait être dangereux à l’intérieur d’un aéroport, où le risque potentiel d’une autre communication critique préjudiciable pourrait être trop élevé. Porter des personnes en danger en utilisant un drone illégalement peut entraîner une peine privative de liberté pouvant aller jusqu’à cinq ans. Cependant, la police a eu beaucoup de difficulté à identifier les opérateurs de drones repérés par les pilotes. D’où les appels en faveur d’un registre obligatoire des drones et de leurs droits. utilisateurs, et pour “geo-fencing”. Certaines sociétés de drones, dont DJI en Chine, gèrent des «zones restreintes» pilotées par le système de positionnement global, qui empêcheront les opérateurs de voler plus loin que des aéroports, des prisons et des sites sportifs. Mais même toutes ces limites peuvent être déverrouillées pour les consommateurs qui contactent l’organisation avec une autorisation appropriée – et des entreprises comme Coptersafe, en Russie, travailleront à la découverte de ceux qui sont en mesure de payer. D’autres fournisseurs de drones ont tendance à ne pas appliquer de restrictions individuelles, car ils sont une mosaïque de réglementations communautaires, internationales et nationales qui différencient les organisations de leurs obligations personnelles, ainsi que de certains types de drones dépourvus du contrôle du système Gps nécessaires pour effectuer tout type de contrôle.. A lire en détail sur: Vol en avion de chasse

Une panne moteur

Un pilote de TransAsia Airways a crié: «Mayday! Au secours! Extinction moteur! »Avant que l’avion ne se retourne et s’écrase dans une rivière à Taiwan, faisant 40 morts – et des responsables enquêtent maintenant pour savoir si l’équipage, salué comme un héros, aurait pu commettre une erreur tragique dans le crash de TransAsia. Les deux moteurs du turbopropulseur ATR 72 ont cessé de produire de la puissance l’un après l’autre, laissant l’avion voler sans poussée pendant plus d’une minute. Les alarmes du poste de pilotage ont retenti pour le premier moteur qui a cessé de produire de la puissance, mais l’équipage a alors entendu parler de l’arrêt de l’autre moteur avant que celui-ci ne produise également de la puissance. Les avions commerciaux peuvent voler avec un seul moteur en fonctionnement, et les autorités n’ont communiqué aucune information des enregistreurs indiquant pourquoi les pilotes ont arrêté le moteur en fonctionnement. Ils ont toutefois déclaré vendredi qu’une perte de poussée combinée avait provoqué le décrochage de l’avion presque neuf peu après le décollage. L’appareil a ensuite basculé par-dessus des bâtiments et s’est incliné fortement vers la gauche avant de s’écraser à l’envers dans la rivière peu profonde. Des responsables à Taiwan et des analystes du secteur ont déclaré que les preuves présentées à ce jour soulèvent des questions quant à savoir si l’équipage a pu couper accidentellement le mauvais moteur. « Il doit y avoir quelque chose qui cloche avec ce que l’équipage a fait », a déclaré un responsable de l’Autorité de l’aviation civile (CAA), qui n’a pas voulu être identifié en raison de la sensibilité du problème. «C’est très difficile d’éteindre un moteur après le décollage. Il doit être vérifié deux fois par l’équipage.  » C’était le deuxième crash de TransAsia en sept mois et le cinquième impliquant la compagnie aérienne depuis 1995, soulevant des questions sur les normes de sécurité du troisième transporteur taïwanais. La CAA a déclaré que les tests en vol ne concerneraient que les 71 pilotes ATR de TransAsia, et non ceux qui pilotent ses appareils Airbus. Les pilotes de China Airlines et d’EVA Air, les deux plus grandes compagnies aériennes de Taiwan, n’ont pas été testés. Source : Dans les airs.