Sydney: hélicoptère et déjeuner

La combinaison parfaite pour ceux qui veulent profiter au maximum de leur journée à Sydney. Comprend les transferts de l’hôtel de ville à l’aéroport de Sydney, après que les passagers du vol aient été déposés dans Circular Quay pour déjeuner chez Meat and Wine Co. Découvrez un superbe vol d’hélicoptère privé de 20 minutes dans un hélicoptère de luxe, choisissez où vous vous asseyez lorsque vous prenez tous les sites de Sydney et ses merveilles côtières. Profitez de ce vol spectaculaire en hélicoptère où vous partez de notre salon privé de l’aéroport Mascot de Sydney, dirigez-vous directement vers la côte et les maisons étonnantes qui abondent les falaises spectaculaires le long de Maroubra et Coogee. Suivre le nord, vous êtes bientôt sur la célèbre plage de Bondi, et ses eaux cristallines avant de passer à South Head dans le port de Sydney. Voir la vue qui rend Sydney si célèbre, du milieu du port en regardant la ville, l’opéra et le magnifique Harbour Bridge, avant de retourner à l’aéroport de Sydney avec les souvenirs de toute une vie.

Ensuite, ce n’est pas fini, vous êtes déposé au superbe restaurant Viaduc Circular Quay pour un généreux repas de 3 plats avec un verre de vin ou de bière. Revivez les souvenirs lorsque vous vous installez pour profiter de la nourriture. Les passagers doivent ensuite revenir à leur hôtel. Plus d’info sur http://www.danslesairs.eu

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Londres en hélicoptère

Découvrez Londres lors d’un vol en hélicoptère de vingt minutes. Survolez la Tamise qui parcourt la ville et découvrez les plus grands monuments de la capitale sous un angle original : Buckingham Palace, Big Ben, the Shard, la Maison du Parlement et beaucoup d’autres. L’hélicoptère comprend cinq sièges passagers en plus du pilote. Ce baptême de l’air en hélicoptère à Londres vous offre une vue panoramique de la capitale Britannique. Pour en savoir plus; https://www.tematis.com/vol-helicoptere-londres.html

Un abus de DHL ?

Le ministre de l’Emploi, Kris Peeters, a demandé à son administration de mener une enquête à la suite d’un reportage réalisé par la VRT qui montre l’abus de contrats journaliers dans l’entreprise de courrier express DHL Aviation. Le reportage rapporte la situation de travailleurs qui depuis plusieurs mois sont employés uniquement et quotidiennement par le biais de ces contrats journaliers. « Ce qui est montré là est choquant. Que des choses comme celles-là puissent se produire en Belgique, à notre époque, est choquant », a souligné M. Peeters, interrogé à la Chambre. Informé du contenu du reportage mercredi, le ministre a demandé à l’Inspection sociale de mener une enquête approfondie. Il a également invité les partenaires sociaux à une réunion afin d’examiner avec eux les carences éventuelles du dispositif d’une convention collective de travail, qui prévoit notamment une forme d’auto-régulation. Mercredi soir, la société de courrier a affirmé qu’elle respectait la législation et qu’aucun travailleur intérimaire n’était occupé plus de vingt jours par le biais de contrats journaliers. Lire en détail sur le site Pilotage Avion.

Smartwings se développe en France

SmartWings, filiale lowcost de la première compagnie aérienne tchèque Travel Service, va renforcer son implantation en France à partir de la saison d’été, avec 20 nouvelles lignes régulières au départ de cinq aéroports, a-t-on appris vendredi à Prague. « Nous observons un accroissement systématique de la demande de nos services en France où nous sommes déjà présents sur le marché des vols charter », a indiqué à l’AFP la porte-parole du groupe, Vladka Dufkova. La compagnie qui tourne ainsi les yeux aussi vers la clientèle individuelle, proposera les vols directs vers des pays européens de la Méditerranée (Espagne, Grèce, Italie, Portugal) et les Iles Canaries, au départ de Paris-Charles de Gaulle, Brest, Lille, Lyon et Nantes. « Cinq avions de type Boeing 737-800 de Travel Service auront désormais leur base principale en France: deux à l’aéroport de Paris-Charles de Gaule, deux à Lyon et un à Lille », a précisé Mme Dufkova, selon qui la compagnie va employer en France quelque 170 personnes. Présente sur le marché des vols affrétés depuis 1997, la compagnie Travel Service exploite des lignes régulières sous le label Smartwings depuis 2004. Sa flotte se compose de 37 appareils dont 32 Boeing 737 et un Airbus A330 et aussi 4 Cessna 680 Citation Sovereign pour les vols privés de catégorie business jet. La compagnie, qui a des filiales en Slovaquie, en Pologne et en Hongrie, et qui possède aussi les 34% des parts du transporteur national tchèque CSA (Czech Airlines) compte élargir sa flotte à 50 appareils, d’ici à 2023. Travel Service a accueilli l’année dernière 6,3 millions de voyageurs, chiffre en hausse annuelle de 9,5%.

Baptême en Fouga Magister

S’il y a bien un cadeau que je n’imaginais pas vivre un jour, c’est cette expérience ! Et pourtant, le mois dernier, j’ai en effet fait un vol en avion de chasse. Ca s’est passé à Rennes, et s’est révélée particulièrement violente ! Pourtant, ça a commencé assez simplement. Ce jour-là, je suis allé à l’aéroport, j’ai rencontré Bastien, le pilote, qui m’a fait un briefing sur les consignes de sécurité. Puis je suis ensuite rendu aux vestiaires pour mettre ma combinaison de vol avant de aller sur le tarmac où m’attendait un appareil au design étrange, un Fouga. L’avion ne correspondait pas à l’image qu’on peut se faire d’un avion de chasse, mais a été l’appareil de la Patrouille de France pendant près de 20 ans : autant dire qu’il envoyait du lourd, niveau sensations ! Je me suis hissé dans le cockpit, et quelques minutes plus tard, on était parés au décollage. C’est difficile de décrire ce qu’on éprouve lorsque je me suis retrouvé face à la piste, prêt à décoller. C’est un mélange de peur et de l’enivrement résolument unique. Un peu ce qu’on peut ressentir lorsqu’on est enfant et qu’on se retrouve sur le grand plongeoir de la piscine. On a envie de faire demi-tour, sauf que tout le monde vous regarde. On se met soudain à regretter de s’être laissé embarquer là-dedans. Pourtant, les premières minutes, il n’y a pas de quoi en faire des histoires. C’en était presque décevant, d’ailleurs. Je n’ai pas ressenti l’accélération au décollage, et les premières minutes ont consisté en un simple vol de découverte, plutôt tranquille à mon goût. Mais ce n’était que le temps de prendre mes repères. Parce que quand a entamé la voltige aérienne, j’en ai pris pour mon grade. Dès la première vrille, j’ai compris que ça allait être énorme. Les acrobaties se sont enchaînées sans relâche. La voltige n’a pas duré longtemps, mais lorsqu’on a pris le chemin du retour, on aurait dit que j’avais couru des heures sous le cagnard. Et vous savez ce qu’il y a de pire ? C’est que j’ai adoré ce vol ! Si j’en avais l’occasion, je recommencerais sans hésiter un seul instant. Je mets le lien vers mon vol en fouga magister.

Aigle Azur ouvre Bordeaux et Alger

Aigle Azur va renforcer sa présence commerciale dans la région du sud-ouest avec l’ouverture de la ligne Bordeaux-Alger durant la période estivale. Le nouveau vol sera effectué chaque vendredi du 16 juin au 8 septembre inclus, aux horaires suivants :
ZI737 Bordeaux – Alger 14h00 14h40 Vendredi
ZI738 Alger – Bordeaux 10h20 13h00 Vendredi
Avec le lancement de la liaison Bordeaux-Alger, Aigle Azur étend son réseau régulier dans la région sud-ouest et permettra aussi de combiner ces vols saisonniers à ses routes déjà existantes à l’année entre Toulouse et l’Algérie. Aigle Azur proposera donc des vols vers l’Algérie depuis 7 villes en France pendant la haute saison estivale. Cette nouvelle ligne sera effectué en Airbus A320 mono-classe.

L’Algérie redéveloppe son armée de l’air

L’Algérie a reçu les huit premiers chasseurs de type Su-30MKI(A) en application du contrat conclu en 2015 sur la livraison de 14 appareils de ce type, annonce le blog militaire russe bmpd, relayé par le site d’information russe Sputnik news. Les six avions de chasse restants, assemblés à l’usine aéronautique d’Irkoutsk en Sibérie, seront livrés d’ici 2018. C’est le troisième contrat sur la livraison de chasseurs russes de ce type à l’Algérie qui compte d’ores et déjà dans ses escadrilles 44 Su-30MKI(A), précise-t-on de même source. Au total, l’usine aéronautique d’Irkoutsk a produit 29 avions Su-30, dont 21 Su-30SM et huit Su-30MKI(A) destinés à l’Algérie. Le premier avion de ce lot a été testé le 10 novembre 2016. Source: http://www.vol-mig.fr

Ryanair met la concurrence sous pression

La low-cost irlandaise a commandé 100 Boeing 737 MAX-200 et compte transporter 150 millions de passagers d’ici à 10 ans, contre 82 millions aujourd’hui. Ryanair fait passer son message. Ceux qui pensaient l’an dernier que la compagnie irlandaise avait perdu de sa superbe en affichant des croissances de trafic « à un chiffre », des bénéfices moins juteux que par le passé, et que le modèle était arrivé à bout de souffle, en seront pour leur frais. La low-cost dirigée par Michael O’Leary est là et bien là. Un an après l’achat de 175 Boeing 737-800 classiques, la nouvelle commande de 100 Boeing B737 MAX-200 passée ce lundi (+ 100 en option) en témoigne. De fait, Ryanair devient la compagnie de lancement du B737 MAX 200, la version allongée du B737-800 MAX, laquelle est elle-même la version remotorisée du B737-800 classique. Pouvant accueillir jusqu’à 200 sièges (11 sièges de supplémentaires que le 737-800 Max), le B737 MAX-200 permet, selon Boeing, de baisser la consommation de carburant au siège de 20% par rapport aux avions moyen-courriers actuels (737, A320). « Cette acquisition nous permettra de porter notre flotte à 520 avions d’ici 2024 et de créer 3 000 nouveaux postes de pilotes, membres d’équipage et techniciens en Europe, tout en augmentant notre trafic passagers de 82 millions l’an dernier à plus de 150 millions par an d’ici 2024 », a déclaré Michael O’Leary, le directeur général de Ryanair, qui précise que « ces nouveaux avions serviront à développer la présence de Ryanair dans un plus grand nombre d’aéroports majeurs en Europe ». Exploitant près de 300 avions aujourd’hui, la compagnie entend donc augmenter sa flotte de 73% d’ici à dix ans. Le plan de marche est ambitieux alors que l’Europe est un marché mature. « Même si cette commande servira en partie à remplacer des avions existants, elle montre que Ryanair a toujours une stratégie de croissance », explique à La Tribune Yan Derocles, analyste chez Oddo Securities. Pour lui, « les livraisons d’appareils vont s’accélérer à partir de 2016 et la compagnie va renouer avec des croissances de capacités plus élevées ». Certes, avec cette nouvelle commande, Ryanair fait un certain nombre de paris : celui de l’attrition de l’offre des compagnies traditionnelles sur le réseau intra-européen, du développement du trafic en Europe de l’est, du feu vert pour la desserte d’Israël (un marché à fort potentiel), de la libéralisation d’ici à quelques années du ciel entre l’Europe et d’autres pays à fort potentiel touristique comme la Tunisie, ou encore sur la réussite de son recentrage sur la clientèle affaires. Avec ce contrat géant d’une valeur de 11 milliards de dollars au prix catalogue, le transporteur irlandais met plus que jamais la pression sur le marché, notamment sur Air France-KLM qui prépare un projet ambitieux pour maintenir sa présence sur le réseau intra-européen. Les ambitions de Ryanair s’invitent naturellement dans les discussions entre la direction d’Air France et les pilotes sur la façon de développer Transavia, la filiale low-cost du groupe tricolore. Pour la direction, le poids actuel des compagnies à bas coûts et leur montée en puissance justifient la décision de muscler fortement et rapidement Transavia en lui donnant les moyens de se battre avec des armes similaires. D’où son intention de faire de Transavia une low-cost paneuropéenne en créant des bases d’exploitation un peu partout en Europe avec du personnel local. Ceci à un rythme extrêmement rapide puisque la direction veut plus que doubler la flotte de Transavia en la faisant passer à environ 115 avions d’ici quatre ans environ contre une cinquantaine aujourd’hui. « Si on passe à 115 avions, on sera dans la course par rapport aux autres low-cost », a déclaré la semaine dernière au comité central d’entreprise le PDG d’Air France-KLM Alexandre de Juniac, selon une source syndicale. Pour la direction, pour avoir une chance de réussir, Transavia France, ne doit pas importer les coûts d’Air France, jugés trop élevés. Autrement dit, la direction exige que les pilotes d’Air France qui iront voler chez Transavia soient engagés aux conditions de travail et de rémunération en vigueur dans cette filiale.

Pas de Rafale pour le Brésil

Le Rafale n’ira pas au Brésil. Le gouvernement brésilien a tranché en faveur de l’avion de chasse Gripen NG du Suédois Saab dans l’appel d’offres portant sur l’achat de 36 appareils, pour un montant estimé à plus de cinq milliards de dollars. L’information a été confirmée, mercredi 18 décembre, par le ministre brésilien de la Défense. Ce choix constitue un sérieux revers pour le Rafale français qui était l’un des appareils en compétition. Retour sur ce nouvel échec pour l’appareil du constructeur Dassault Aviation, qualifié d’invendable. Après plus de dix ans de discussions et de reports en raison de coupes budgétaires, la présidente brésilienne, Dilma Rousseff, a finalement opté pour un appareil considéré comme le moins cher des trois choix qui se présentaient à elle. Le Gripen NG était ainsi en concurrence avec le Rafale de Dassault Aviation et le F/A-18 Super Hornet de l’américain Boeing. Le « choix était fondé sur l’équilibre entre trois points : le transfert de technologie, le prix de l’avion et le coût de son entretien », a expliqué le ministre brésilien. Selon la presse locale, le Suédois avait également la préférence des militaires brésiliens. Déçu, le groupe Dassault Aviation a regretté le choix du Brésil, estimant que l’avion de chasse suédois était moins performant que l’appareil français. « Nous regrettons que le choix se porte sur le Gripen, doté de nombreux équipements d’origine tierce, notamment américaine, qui n’appartient pas à la même catégorie que le Rafale. Monomoteur et plus léger, le Gripen n’est pas équivalent en termes de performances et donc de prix », a commenté le constructeur français dans un communiqué publié mercredi soir. Interrogé sur cette question du prix, jugé trop élevé par Brasilia, Olivier Dassault, un des héritiers de l’empire industriel français, a rétorqué sur la chaîne LCI : « Mais il est quatre fois meilleur, la qualité a un prix ! » Selon lui, « cette logique financière ne prend en compte ni le ratio coût-efficacité favorable au Rafale, ni le niveau de la technologie offerte ». L’appareil accumule les déceptions, à tel point que Dassault Aviation ne l’a encore jamais exporté. Le constructeur français espère donc beaucoup de New Delhi avec qui il est toujours en négociation pour finaliser la vente de 126 Rafale, dont 108 à assembler par des industriels indiens. La commande est estimée à plus de 12 milliards de dollars. « Je vous rappelle que l’Inde a pris la décision et qu’aujourd’hui, c’est une décision sur le plan technique, mais la décision est prise. Donc il faut arrêter de dire que le Rafale n’est pas vendu, c’est le meilleur avion du monde, dans tous les combats avec les avions américains, suédois, il gagne », s’est encore exclamé Olivier Dassault,